Heureux qui, comme lui, a vu de belles images,
Des bas et des coutures, magnifique horizon
Et puis est descendu tout droit jusqu'au talon,
Embrasser du regard ce divin paysage
Quand reverrai-je, hélas, pendant un effeuillage,
Des jambes nylonnées, et en quelle saison,
Reverrai-je l'œillet, tellement polisson,
Qui m'est un réconfort, et beaucoup davantage
Plus me plaît le toucher de ton nylon soyeux
Que d'un collant "sexy" le contact ennuyeux,
Plus que dessous commun me plaît lingerie fine
Plus un joli serre-taille, que chemise en satin
Plus la belle dentelle, que le cuir libertin
Et plus que nudité, jarretelle divine !
J’ai rédigé une première version de ce texte en commentaire / réaction à la vidéo ci-dessus. J’ai malheureusement introduit des rimes faibles dans les deux premiers quatrains, je vous demande humblement de bien vouloir m’accorder votre indulgence. Concernant la vidéo, si vous ne l’avez pas déjà visionnée, faites-le, et s’il vous plaît, aimez-la, commentez-la et partagez-la !
Une fois n’est pas coutume, je dédie ce modeste poème à deux hommes. Deux hommes un peu particuliers, qui ont une connaissance encyclopédique du sujet qui nous occupe ici, une excellente connaissance aussi de celles qui le font vivre au quotidien. Deux hommes sans qui ce blog ne serait pas le même : il y perdrait les photos qui l’illustrent, il y perdrait des idées d’écriture – après tout, ce petit poème n’est rien d’autre qu’un lointain descendant d’un petit chaperon rouge revisité dont je rigole encore -, il y perdrait, en fait, un peu de son âme. Merci à eux pour leur soutien !
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