J’ai un aveu à vous faire : j’ai péché. Rien de trop grave à mon humble avis, mais dans le fond, je vais vous laisser juges. Mon crime ? J’ai ajouté des compléments à quelques articles récents ! Je sais que certaines personnes me lisent au fil de l’eau, et à titre personnel j’ai rarement tendance à revenir sur d’anciens articles, donc je vous préviens ici et je vous indique les modifications, si je les ai faites c’est que j’estime qu’elles présentent un intérêt et ajoutent une information potentiellement utile.
L’éducation féminine
Je parle ici de mon article sur l’éducation féminine. J’y indiquais que j’avais demandé son avis à ma nièce et que je mettrai à jour l’article une fois sa réponse obtenue, je l’ai eue. J’ai donc ajouté la section suivante :
Comme annoncé un peu plus haut, j’ai posé la question à ma nièce. Et elle m’a répondu. Je l’avais dit je crois : elle a fréquenté le même lycée que moi, environ 28 ans plus tard3. Si elle n’a pas choisi la même filière que moi (de toute façon, la filière S option Technologie Industrielle spécialité Maths n’existe plus, mais elle n’a pas pris d’option Maths non plus), elle a des copines qui l’ont fait. Elle m’a dit deux choses : on trouve encore des cursus avec plus de filles et d’autres avec plus de garçons. Mais surtout, elle n’a jamais entendu parler de telles réflexions, ni directement, ni indirectement à travers ses copines qui ont suivi ces spécialités. Pour bien enfoncer le clou je vais reprendre ses mots exacts :
de toute façon, connaissant un peu les profs enseignant ces matières, je ne pense pas qu’ils auraient laissé passer ce genre de commentaire (en tout cas pour la plupart).
Est-ce que la plupart des lycées sont comme celui-ci, ou bien celui présenté par le journal est représentatif ? Je n’ai pas les informations nécessaires pour trancher, deux exemples ne suffisent pas, si j’ai ma petite idée elle relève de l’opinion personnelle et n’a pas vraiment sa place ici. Je dois avouer, et j’en demande pardon aux quelques journalistes qui fréquentent ce site, que j’ai un petit préjugé sur la profession journalistique, qui a l’art de choisir les lieux collant au récit qu’elle veut faire. Et qui peut leur en vouloir ? Quand un lieu est sans histoire, il n’intéresse personne !
Un point que je n’ai pas évoqué dans l’article ni dans sa modification : si vous êtes ou avez été enseignant(e), je serais heureux d’avoir votre avis sur la question, à partir de votre expérience.
Dessus ou dessous ?
Là, ce n’est pas un élément que j’avais promis d’ajouter, mais un élément que j’avais oublié d’inclure dans mon article où je réponds à la question de la position de la culotte. Mes lectures m’ont donné une autre raison de porter la culotte au-dessus des jarretelles, que j’ai ajoutée à l’article et que je vous partage ici.
Dans la rédaction initiale de cet article, j’ai oublié une des raisons de porter la culotte dessus, qui me vient tout droit du livre du boss (merci à lui, il faudra que j’en parle plus en détail !), une raison purement mécanique : en pratique, vos jarretelles sont paresseuses, elles essaient de parcourir le chemin le plus court entre la ceinture qui les tiennent en haut, et les bas qui les tirent vers le bas. Si ce chemin est amené à faire un pont disgracieux entre votre taille et vos cuisses, elle n’aura aucun scrupule à le faire. La culotte va permettre de les ramener plus près de votre corps, ce qui réduira le risque d’apercevoir une marque suspecte sous votre jupe, si vous en portez.

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