Sous le signe des bas – Partie 3

Photo NylonPur en noir et blanc : modèle, portant des bas Cervin Swing Time de dos
Les images dans l'article sont celles de l'article d'origine tel que publié chez NylonPur.
La photo d'illustration est, bien sûr, une photo NylonPur. Je l'ai peut-être déjà utilisée, mais dans le cadre de cet article elle présente à mes yeux deux intérêts majeurs : on la trouve, avec beaucoup d'autres, dans le livre qu'a écrit l'auteur sur le sujet, et en plus c'est une de mes préférées. Bon, en réalité, ce n'est pas celle-ci précisément, mais c'est une autre photo de la même série, c'est presque pareil !

Martine, Monique, Sophie et les autres…

La première rencontre sérieuse eut lieu à Bruxelles avec Martine. Je vous passe les détails, mais j’ai découvert qu’elle était plus à la recherche d’un mari que d’un amant. Ce n’était pas mon but premier, mais j’avais envisagé cette éventualité. Bien sûr elle ne portait que des collants, des panties, comme ils les appellent là-bas. De fil en aiguille, l’expression est prédestinée, elle a donné son accord pour porter des bas. Comme elle n’avait pas la moindre pièce sexy dans sa garde-robe, nous sommes allés faire nos « emplettes » dans un magasin de lingerie non loin de la place de Brouckère. Nous avons choisi un joli trois pièces, sans cuisine, mais avec jarretelles. Pour les bas, il y avait en face un autre magasin, genre mercerie, et nous avons choisi des bas à couture, un de mes vieux rêves. Comme j’avais encore une ou deux courses à faire, dans un tout autre domaine, je lui ai demandé de rentrer chez elle et d’essayer tout ça. Quand je suis revenu, elle m’attendait avec la tenue adéquate, à un détail près, qui me fit bien rire. De par son âge, elle avait porté des bas dans sa jeunesse, mais par manque d’entraînement, elle avait oublié un principe qui peut s’avérer catastrophique en cas de besoin pressant. Elle avait mis les jarretelles par-dessus le slip, ce qui vous pensez bien n’est pas la meilleure solution pour descendre sa culotte rapidement. À ce moment-là, c’était plutôt moi qui avais un besoin pressant, celui de faire l’amour. Quand nous avons atterri sur le lit, pour une fois que j’avais sous la main une fille qui portait des bas, j’ai dû décrocher ses jarretelles pour pouvoir descendre le slip. Ce fut malgré tout très agréable.

Pendant une année nous nous sommes retrouvés de temps à autre et nous avons passé les vacances d’été ensemble. Pour son anniversaire, j’avais décidé de lui offrir une jupe en cuir, c’est joli une jupe en cuir avec des bas noirs, non? Nous sommes allés dans un magasin qui se trouvait sur la Grand Place, haut lieu touristique de Bruxelles. Dans un magasin de confection, mais qui vendait un peu tout, nous sommes entrés car l’article que nous voulions se trouvait en vitrine. Dans la boutique une dame et sa fille, une jeune qui devait bien avoir dix-sept ou dix-huit ans achetaient divers articles. À un moment donné la mère a demandé des bas. La vendeuse a fouillé dans un tiroir et a présenté des bas à la dame en lui demandant s’ils lui convenaient. La dame a alors dit que c’était pour sa fille et que c’était à elle de répondre. Je ne pense pas qu’elle entrait dans un couvent le même jour. Son copain était sans doute un fétichiste ou allait le devenir. Comme vous le voyez, en Belgique on sait aussi s’amuser. Enfin, je crois qu’ils ne sont pas tous comme cela. Un soir avec Martine nous sommes allés manger à l’Auberge des Chapeliers, un nom bien connu des habitants de Bruxelles. Après avoir englouti un waterzoï, nous avons continué la soirée en prenant un verre dans un petit bar. Martine était assise sur un tabouret avec les jambes bien croisées. Le spectacle était bien charmant et l’on pouvait deviner le haut de ses bas. Un monsieur assis en face d’elle n’a daigné, à aucun moment, jeter un regard sur ces trésors étalés, je le guettais du coin de l’œil. Peut-être était-il pédé ou il préférait les collants? Une énigme qui restera sans réponse.

Quelques paires de bas plus tard, nous avons décidé de nous séparer, la distance qui nous séparait était un handicap et puis je ne me sentais pas prêt pour le mariage. Lors d’une grande fête j’ai fait la connaissance de Monique. C’était une vrai fausse blonde assez jolie et d’un caractère assez possessif. Elle était divorcée avec trois fils dont deux étaient des adolescents très cool. Je l’ai draguée et nous sommes partis pour de nouvelles aventures. J’ai bien sûr vite aiguillé la conversation sur le sujet qui m’intéressait, que se passait-il dessous? Avec un semi étonnement de ma part et un sourire complice de la sienne, elle m’a avoué qu’elle était une adapte de la lingerie sexy et qu’il lui arrivait d’en porter, même sans intention préconçue, uniquement pour le plaisir de se sentir féminine. Elle m’a raconté qu’un soir alors qu’elle était dans une soirée dansante, son cavalier, sans doute par quelque tâtonnement furtif, avait remarqué qu’elle avait mis des bas et un porte-jarretelles. Il lui a posé la question et elle m’a dit que de toute la soirée elle ne lui a plus adressé la parole. Elle était venue là pour s’amuser et non pas pour draguer, sa lingerie elle l’avait mise pour elle et non pas pour séduire. Comme vous pouvez le constater par ces propos, une femme qui porte des bas n’est pas forcément une allumeuse. Dans mon cas, j’avais pris feu sans étincelle. Nous avons consommé une passion assez torride et elle ne manquait jamais de s’habiller de manière sexy pour moi. Elle me faisait la surprise de temps en temps d’un nouvel achat que je découvrais au fur et à mesure de mes investigations sous ses jupes. Il m’est arrivé une ou deux aventures assez cocasses et involontaires avec elle. Un soir nous avions dîné dans un très bon restaurant, une sorte de vieille maison historique, aménagée sur plusieurs étages en différentes salles, chacune avec sa particularité au niveau du service et de la carte. Nous avons poursuivi la soirée en prenant un verre dans le sous-sol aménagé en bar. Quand nous avons voulu partir, en descendant du siège de bar, elle est tombée et dans sa chute sa jupe s’est relevée, offrant à la vue des clients ses bas noirs et ses jarretelles blanches. Je ne doute pas qu’ils ont apprécié le spectacle. Un peu confuse, elle s’est bien vite relevé et a quitté le bar dignement. Un autre soir alors qu’elle se préparait pour sortir, avec moi bien sûr, elle est venue me demander ce que je pensais de sa tenue. À son grand étonnement, je lui ai demandé en riant, si elle comptait faire d’autres conquêtes ce soir-là. Elle m’a regardé d’un air intrigué et je lui ai demandé d’aller se regarder dans le miroir de la chambre à coucher. Elle avait mis une jupe qui par transparence révélait tous ses dessous. On voyait très bien son porte-jarretelles, ses bas et sa culotte, presque aussi bien que si elle n’avait rien mis dessus.

L’incident le plus comique est arrivé alors que nous assistions à une représentation dans laquelle un de ses fils jouait dans une pièce de théâtre amateur. Ce jour-là, nous avions fait l’emplette d’une magnifique guêpière blanche qu’elle avait immédiatement inaugurée en allant admirer son fils sur scène. Après le spectacle, il y avait un repas ou nous avons mangé et surtout bu, si bien que l’ambiance était très détendue l’alcool aidant. Un peu avant la fin de la soirée elle m’a soufflé à l’oreille qu’une de ses jarretelles s’était détachée. Ce n’était pas une catastrophe, mais elle ne pouvait pas discrètement la réajuster sans que tout le monde la voie. La seule solution c’était d’aller discrètement aux toilettes en espérant que la seconde ne lâche pas et que malgré tout son bas reste en place. Je l’ai accompagnée à la sortie de la salle en ayant l’air de lui donner la main, mais en fait nous avons tenu le bas pour qu’il ne glisse pas. Au début de la soirée j’avais remarqué un jeune homme qui regardait avec insistance les jambes de Monique. Elle était assise sur un banc et l’on pouvait sans doute deviner lorsqu’elle croisait les jambes ou bougeait un peu, que les collants étaient restés dans la table de nuit. Il passait et repassait devant elle, l’air de rien. Comme par hasard, quand elle monta les escaliers pour aller remettre de l’ordre dans ses dessous, le jeune, sorti d’on ne sait où, lui a emboîté le pas et je peux vous dire qu’il ne regardait pas la pointe de ses souliers. Petit malin va.

J’ai encore une autre anecdote avec cette guêpière et celle-là me concerne plus directement, vous allez voir. Nous avions fait l’amour et comme d’habitude nous avions allumé une cigarette en guise d’entracte. De fil en aiguille, elle a amené la conversation sur un de ces petits fantasmes. Elle a voulu que je mette sa guêpière et que je parade devant elle dans cette tenue. C’est ainsi que pour la première et la dernière fois j’ai failli me retrouver de l’autre côté de la barrière, déguisé en homme fatal. Je dis bien failli, car lorsqu’il a fallu attacher les agrafes dans le dos, étant un peu plus baraqué qu’elle, la chose relevait de l’exploit. Quant à moi j’avais l’impression que tout allait sauter dans un craquement sinistre comme celui du Titanic heurtant son iceberg. Pour finir elle a abandonné et comme je n’allais pas en acheter une spécialement pour moi, nous n’avons plus reparlé de cela. Début et fin de mes aventures de travesti.

Monique avait un autre côté assez plaisant, celui de sa passionner pour ce qui était un peu rétro. Un jour, j’eus avec elle une expérience qui est un cas unique dans mes anecdotes personnelles. Elle me fit voir une pièce historique, son premier porte-jarretelles, une véritable pièce des années soixante qu’elle avait précieusement ou pieusement conservé. C’était un ensemble, qui rappelait un peu le tissu écossais, dans une teinte brun-jaune, d’un effet très charmant. Elle me narra son histoire. C’est en fait une tante, entendons par là une sœur de sa mère, qui lui avait un jour acheté cette parure trois pièces. Elle avait décidé qu’elle était assez grande pour se promener avec autre chose que des socquettes. Bien sûr elle se rappelait très bien ce moment-là, comme beaucoup de ses copines. De toutes mes aventures féminines, c’est sans doute elle, qui s’approche le plus du fétichiste, version féminine. Elle avait parfaitement bien compris la relation lingerie sexy et toute la puissance que cela peut développer dans les sentiments d’un homme. Et en plus c’était aussi une excellente cuisinière. Alors…

Après une période heureuse, nous avons continué notre chemin chacun de son côté, elle avec sa famille et moi avec mes nouvelles aventures. Je vécus pendant quelque temps avec de brèves liaisons sans grande importance, ni très longues. C’est à la fin de l’une d’entre elles que je fis la découverte de Sophie. Elle n’était pas une inconnue pour moi, je la côtoyais depuis quinze ans sans jamais avoir pensé en faire plus qu’une copine. En fait ce qui m’attirait le plus chez elle, c’était son côté très cultivé et un peu artiste. La côté physique ne me laissait pas indifférent, blonde aux yeux bleus, elle avait un charme plus que certain, mais les choses en restèrent là pendant longtemps. Nous avons commencé à nous voir de plus en plus souvent et il m’arrivait parfois de l’aider dans son travail qui nécessitait des déplacements. Un soir, nous sommes allés boire un verre avec une de ses copines et nous avons parlé de chose et d’autres. Ces dames ont alors commencé à parler chiffons. Du chiffon elles ont passé à la dentelle. Très honnêtement j’avais toujours imaginé Sophie, qui s’habillait toujours avec une certaine classe, de cacher sous ses robes de jolies parures. Je n’eus pas à poser de questions les réponses vinrent toutes seules, dans une sorte de match bas-collants. Sa copine qui était plutôt du style baba-cool, a ouvert les feux en racontant, qu’elle s’était acheté des dessous sexy, sans toutefois rencontrer un grand intérêt chez son ami. Du moins c’est ce qu’elle racontait. Sophie a alors mis son grain de sel en disant qu’elle aussi s’était remise à porter de temps en temps des bas à la place des détestables collants et que c’était sa manière à elle de redécouvrir sa féminité, bien que je puisse vous certifier qu’elle n’en manquait pas. En fin de compte, je fis l’arbitre et elles me demandèrent ce que je pensais de tout cela. La réponse fut bien entendu de ma part en faveur du port des bas. Sophie a sans doute noté mentalement la réponse. Le départ de notre idylle a commencé peu de temps après, alors que sans trop nous l’avouer, nous désirions devenir plus que des amis. Un dimanche elle est venue dîner avec moi et j’avais décidé de passer aux actes ce jour-là, ayant accepté mon invitation je pensais qu’elle montrait des signes favorables. Elle portait un tailleur gris du plus bel effet et ses jambes étaient gainées de noir. Bas ou collants, à vrai dire je ne me suis pas tellement posé la question, car j’étais quand même dans le doute sur ses sentiments. Pendant le repas, nous avons parlé de chose et d’autres et à un moment la conversation est venue sur une petite cicatrice qu’elle s’était faite en dessus du genou suite à un léger accident. Pour me monter la chose, elle leva un peu sa jupe, découvrant ses jambes, mais pas suffisamment pour me faire une opinion sur ses dessous. Après le dîner, nous avons poursuivi, en allant chez moi. Tout en lui posant des questions de plus en plus précises, j’ai décidé que je pouvais passer aux actes sans risquer de me prendre une paire de baffes et nous avons fini dans les bras l’un de l’autre. Mes mains se sont faites de plus en plus baladeuses et j’ai fini par aller sous sa jupe. Manque de pot c’était de collants. Elle m’avoua avec un petit sourire moqueur qu’en s’habillant elle avait pensé mettre des bas, mais que malheureusement un avait filé et elle n’avait pas d’autre paire sous la main. Elle avait quand même bien retenu sa leçon. Je lui promis de lui en acheter des tonnes. Cela ne m’empêcha pas, à sa demande, de lui montrer mon lit.

Avec elle, nous avons passé une année ensemble, il fut même question de mariage, mais nous n’avons jamais fini devant le maire. Ce fut peut-être la plus enflammée de mes passions. Elle avait le chic pour entretenir un romantisme un peu vieillot, mais au combien agréable. Elle était toujours habillée avec des vêtements achetés dans les meilleures boutiques et quand nous avions une soirée sentimentale en perspective, elle ne manquait jamais de mettre ses meilleurs atours en dessous de ses robes. C’était plutôt une adepte des guêpières, car elle trouvait que cela la féminisait plus et elle trouvait un certain confort en les portant. Même si elle portait des collants, le reste de sa lingerie était toujours très sexy, jamais de banales petites culottes ou de soutiens-gorge avec pour seule fonction le soutien de sa poitrine. Je dirais également que de toutes mes amies, ce fut celle qui portait la lingerie avec le plus d’aisance, c’était presque naturel chez elle.

J’étais chargé de lui acheter ses bas, car elle considérait que c’était l’affaire des hommes d’habiller ses jambes d’une manière séduisante pour lui. Par contre, elle achetait toujours ses autres sous-vêtements et ne m’a jamais demandé conseil ou emmené avec elle pour ses achats. C’était chaque fois la surprise. Nous avons, bien sûr, eu quelques parties de rigolade liées au fait qu’elle portait des bas. Je me rappelle par exemple, c’était mon anniversaire, nous allions sortir pour dîner et nous avons fait halte dans un bar où l’on pouvait jouer au flipper, c’était une passionnée de ce jeu. Elle avait mis une robe noire assez serrée et un œil averti pouvait soupçonner la présence de jarretelles qui faisaient des petites bosses lorsque la robe était bien tendue. À certains moments, cela était très visible, selon la manière dont elle secouait le flipper. Je puis vous assurer que bien des regards masculins guettaient le moment propice, sous mon regard amusé. Un soir nous avions décidé de passer une soirée bien tranquille, en amoureux. Elle avait l’habitude de porter lors de ces soirées bien intimes, une jupe qui était très fendue sur le devant et qui ne cachait rien de la lisière de ses bas. Soudain, s’amena sans crier gare, un copain dont nous n’attendions pas la visite. Sophie eût un regard un peu paniqué et partit en droite ligne se réfugier dans la chambre à coucher pendant que je faisais entrer le visiteur inopportun. Je pensais qu’elle allait mettre une tenue plus adéquate, mais elle résolut le problème en enfilant une paire de leggins qui masquait le tout. Je me mis à rigoler, elle aussi, mais l’autre ne sut jamais pourquoi.

Un jour nous avons séparé nos chemins et peu de temps après j’ai rencontré ma femme, après une ou deux très brèves aventures. Mon mariage. Alors là, ne comptez pas sur moi pour vous en dire plus. Vous pensez bien que je ne me suis pas lancé dans cette aventure sans prendre des précautions pour l’avenir.

J’ajouterais, en guise de conclusion, que chaque femme fait ce qu’elle veut. Il y a celle qui savent et celles qui ne savent pas garder un amant ou un mari. Certaines n’ont pas besoin de mettre des bas, pour d’autres cet exercice peut s’avérer salutaire. Il y a tant d’hommes qui soupirent devant une belle paire de jambes. Bas ou collants? C’est là toute la question. Mais avant de décider lisez ceci :

Les femmes reprochent surtout au bas son côté peu pratique, c’est l’excuse la plus invoquée, Mais, combien de fois n’ai-je pas souri en voyant une de mes compagnes faire toute une gymnastique pour enfiler une paire de collants. Pendant l’opération, il faut éviter d’écarter trop les jambes, il faut monter chaque jambe en même temps ou à peu près, il faut éviter de le déchirer en tirant trop fort. Évidemment, une fois le tout réussi, vous avez Mesdames, le sentiment de la liberté. Vous n’avez pas à cacher vos jarretelles, vous pouvez écarter les jambes, vous moquer du vent qui soulève vos jupes et vous croire la plus belle. C’est sans doute un peu vrai, mais il vous manque quelque chose pour être parfaite, cette chose qui fait que les dames qui portent des bas et celles qui portent des collants ont une différence dans l’attitude, un rayonnement qui n’échappe pas à un homme averti. Même au prix d’une jarretelle qui se décroche dans la rue, même au prix de la vision d’un haut de bas, la somme totale à payer est ridicule à côté de ce que cela peut vous rapporter. Les bas se décrochent, quel ennui, on ne peut pas appeler police-secours. Votre parure devient un instrument de torture au bout d’un moment ? Si cet accident vous arrive, peut-être avez-vous mal choisi votre porte-jarretelles ? N’achetez pas n’importe lequel. Les spécialistes et adeptes du bas conseillent les jarretelles non pas en plastique, mais en métal. Pour être bien seyant, votre porte-jarretelles doit former un demi-cercle en tenant les deux extrémités. Ce sont des conseils qui sont donnés par des dames qui ont de l’expérience et qui tiennent des boutiques de renom. Elles tiennent à la fidélité de leur clientèle et considèrent que les femmes qui s’habillent d’une certaine manière méritent le meilleur de ce que peut offrir une parure sexy.

Alors suivez leurs conseils et faites rêver les hommes. Ils en ont tant besoin.

FIN…

enfin... pour ici ! Comme je vous l'ai dit en introduction, vous pouvez trouvez d'autres anecdotes (le bougre en a beaucoup) et conseils (là aussi, il n'en manque pas, et de bonne facture) sur le site de l'auteur, n'hésitez pas à y faire un tour si vous ne le connaissez pas !
Un peu moins accessible puisqu'il convient de l'acheter, son livre est très intéressant aussi. J'en ferai peut-être une chronique ici un de ces jours (en fait, c'est dans mes projets pour cette année).
Et si les bas et leur culture vous laissent de marbre — auquel cas je vous remercie tout de même d'avoir lu jusqu'à là —, vous trouverez chez lui des heures d'explorations et de souvenirs musicaux.



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