Cet article est une reprise, en condensée, d’une série que j’ai écrite il y a très, très longtemps — le format blog fait que malheureusement, des textes anciens tombent dans l’oubli bien qu’ils puissent rester utiles quelques années plus tard (sans vouloir me vanter, je pense que ce texte restera utile tant qu’existeront des bas tels qu’on les a aujourd’hui). La question est cruciale, le sujet a fait malheureusement beaucoup de dégâts chez les fabricants de bas dans la mesure où, en général, une personne qui n’est pas à l’aise avec un vêtement n’aura aucune envie de le reporter. Les bas ne font pas exception.
L’article est long : une fois n’est pas coutume, je vous propose une table des matières pour y faciliter la navigation.
- Audience
- Périmètre
- Le besoin
- Description
- L’objet idéal
- Les jarretelles
- Le serre-taille
- Mensurations atypiques
- Où en trouver ?
- En images
Audience
À qui s’adresse cet article
Toute personne, femme ou homme, qui aurait envie de porter ou d’essayer de porter des bas de façon confortable, tout au long d’une journée. Ce qui peut inclure un usage sexuel, mais ça n’a rien d’une obligation, on passe rarement toute la journée à… enfin, bref, vous m’avez compris je pense.
Toute personne simplement curieuse du sujet, sans avoir forcément l’envie de s’y essayer.
Toute personne ayant essayé d’en porter, ayant trouvé ça extrêmement inconfortable et voulant aller un peu plus loin que : « Oui, bon, il faut de tout pour faire un monde » pour comprendre ce relatif échec.
Et toutes mes lectrices et lecteurs habituels, qui ne sont pas forcément très intéressé(e)s par le sujet mais me font l’amitié de me lire.
À qui ne s’adresse pas cet article
Toute personne, homme ou femme, désirant porter des bas dans le cadre exclusif d’une pratique sexuelle, quelle qu’elle soit. Le confort peut être un plus, mais n’est dans ce cas pas forcément le critère le plus important.
Cet article ne s’adresse pas non plus à toute personne qui considère que cet objet est un symbole de domination patriarcale n’ayant d’autre but que transformer le corps féminin en objet de désir. J’ai parlé de ça il y a longtemps, mais pour dire les choses en quelques mots il y a un monde de différence entre mettre des bas juste avant de rejoindre monsieur dans la chambre à coucher, et les mettre le matin avant de réveiller les enfants, les faire déjeuner et les amener à l’école avant d’aller soi-même au boulot. Sachez que je m’inscris dans la deuxième catégorie1, qui correspond à ma propre pratique quotidienne.
Périmètre
Je m’intéresse ici à deux objets permettant de tenir les bas en place : principalement le porte-jarretelles, un peu le serre-taille. Je ne parlerai donc pas en détail de guêpières, gaines ou corsets, même si certains principes que je vais énoncer sont généraux.
Le besoin

Avant de dire ce qu’il faut rechercher dans un porte-jarretelles, laissez-moi expliciter ce qu’on attend de ce genre d’objets. Nous verrons ensemble comment y arriver par la suite.
Premier point : il doit tenir les bas. Ça semble idiot, dit comme ça, mais les implications sont vertigineuses sur l’ensemble de ce qu’on trouve sur le marché. Tenir les bas, ça veut dire : faire en sorte qu’ils restent dans la position où ils ont été mis en s’habillant, sans nécessiter des interventions incessantes pour les remettre en place. Donc, découlent de ce besoin basique les éléments suivants :
- il doit empêcher le bas de glisser : on ne veut pas commencer la journée avec un bas en haut de la jambe et la finir avec un bas juste au-dessus des genoux !
- il doit empêcher le bas de tourner : on ne veut pas s’embêter à mettre une couture bien droite et finir avec une spirale. Et même sans couture, un bas qui tourne, c’est pas très agréable.
- il doit rester bien attaché au bas : pas besoin de dessin je pense…
Deuxième point : il doit, lui-même, se faire oublier une fois en place — dit autrement, il doit être confortable. Ce qui inclut un toucher agréable, et une coupe qui lui permet d’avoir une zone d’appui large, il ne descend pas, ne remonte pas, ne s’enroule pas. Ah, et bien sûr, il ne faut pas qu’il tourne, lui non plus, sinon il va emmener les bas avec lui !
Troisième point, éminemment subjectif : il doit être attirant, après tout si on porte des bas, même si c’est dans une démarche personnelle, pour soi, c’est aussi pour se sentir jolie et attirante ! Qu’on soit femme ou homme, d’ailleurs.
Un dernier point, c’est peut-être un détail mais il compte aussi : s’il n’est pas exclus de laisser certains habitués deviner ce qui se trouve sous les vêtements, il est prudent de ne pas le crier à la face du monde. On appréciera donc un système discret: on peut considérer que s’il est visible sous un vêtement ajusté, cette visibilité sera un choix, mais sous un vêtement un peu plus large on souhaite qu’il ne soit pas visible.
Description
Celle-ci sera très simple : à la base, un porte-jarretelles est une ceinture munie de bretelles. Celles-ci sont en nombre pair, allant de 2 à… beaucoup, les nombres les plus courants dans le commerce aujourd’hui étant 4 et 6, j’ai pu en voir jusqu’à 16.
Que cherchera-t-on sur chacun de ces éléments ?
La ceinture
Celle-ci doit s’installer dans le creux de la taille, mais aussi descendre le long des hanches pour y trouver un bon appui qui l’empêchera de glisser. Dans l’idéal elle sera réglable et un minimum extensible.
J’ai pu voir des photos de porte-jarretelles « taille basse », qui se posent sur les hanches… honnêtement, si vous cherchez du confort, évitez ces trucs.
Les jarretelles
Le plus souvent les jarretelles sont des rubans élastiques, plus ou moins fins, plus ou moins longs. Une de leurs extrémités est munie d’un système pour tenir les bas. L’autre extrémité est soit attachée à la ceinture, soit munie d’un système pour s’accrocher à la ceinture en question.

Voilà pour les informations de base. Examinons maintenant ce qui fait qu’on peut qualifier un porte-jarretelles de « bon ».
L’objet idéal

Le corps féminin est une merveille. Et à mon humble avis d’homme, il tient en partie ce statut des courbes qui le constituent. Chez une femme occidentale moyenne, d’après le guide des tailles de Secrets un Lace, la différence entre le tour de taille et le tour de hanches tourne entre 25 et 35cm. Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit : je parle bien de moyenne. Mesdames, si vous êtes en dessous, ou au-dessus, ce n’est en aucun cas un problème. Ça imposera toutefois quelques compromis concernant votre lingerie, j’y reviendrai.
Imaginez… Prenez un cylindre, par exemple de 63cm de tour et de 15cm de hauteur. Agrandissez la base de ce cylindre jusqu’à 88cm, vous vous retrouvez avec une sorte de cône tronqué. Découpez ce cône et dépliez le. Permettez que je vous épargne l’effort d’imagination : vous obtiendrez une figure de ce type :

Vous remarquerez que la figure obtenue fait un arc de cercle. Un porte-jarretelles doit faire pareil. Peut-être pas autant, mais la forme générale est là : il doit tourner. Dans le cas contraire, il ne sera pas adapté à votre morphologie et vous cisaillera les hanches. Cette forme lui permettra d’épouser les vôtres tout en douceur, de tenir autour de votre taille et de s’appuyer gentiment sur vos hanches, sans serrer à aucun niveau. Il va sans dire que plus la surface d’appui sera importante, plus le confort ressenti le sera aussi : le porte-jarretelles ramène la force de traction de vos bas au niveau de vos hanches : une même force semblera plus légère si elle est répartie sur une plus grande surface.
Sur le système de fermeture, ça va dépendre de vos préférences. La plupart sont équipés d’un système d’agrafes à 3 positions, comme les soutien-gorge. Certains n’ont qu’un crochet, comme un soutien-gorge de maillot de bain. Et d’autres sont fermés par construction, et n’ont donc pas besoin d’une fermeture. Le zip ? Peut-être, mais je le crois plus présent sur les corsets. Notez que pour les porte-jarretelles fermés par des agrafes à 3 positions, vous en trouverez en général une à trois — un serre-taille pourra monter à 6 à 10. Ces agrafes vont déterminer la hauteur minimale du porte-jarretelles : clairement, en avoir 3 n’est pas vraiment un luxe.

Pour les jarretelles, le sujet est vaste, elles font donc l’objet de la section suivante.
Les jarretelles
Le bon nombre
Concernant les jarretelles : il en faut au-moins 4. Mais attention : ces 4 ne seront acceptables que dans un cas très, très précis : si vous utilisez un porte-jarretelles qui a été fabriqué avant les années 1970. Tout simplement parce-qu’à l’époque il n’y avait pas plus, mais comme les fabricants savaient en général les fabriquer, ce n’est pas trop gênant. Cas modèles proposent en général 2 jarretelles vers l’avant et 2 sur le côté.
Pour un porte-jarretelles moderne, 6 est le bon chiffre. Fuyez ceux à 4 : en général ils sont fabriqués par des marques qui n’y connaissent rien. Ils peuvent être très jolis, ils peuvent être très chers, ils n’en seront pas moins totalement inadaptés pour une utilisation tout au long d’une journée. Donc, 6, qui ajoutent une paire de jarretelles à l’arrière, parfaites pour s’aligner avec votre éventuelle couture. Plus ? C’est possible, bien sûr, mais pas forcément utile. Notez que je n’ai pas parlé de ceux à 2 : ceux-là tiennent plus de l’arnaque et de la plaisanterie que d’un objet sérieux.
La forme
Prenons l’hypothèse que les jarretelles sont des élastiques et non de simples rubans — ça sera le cas général.
La qualité de vos jarretelles dépendra de plusieurs facteurs : leur largeur, leur longueur, l’attache et le système de réglage de la longueur, ça fait beaucoup !
Vous voulez qu’elles soient élastiques pour compenser vos mouvements — selon que vous êtes assise ou debout, vos jarretelles ne tireront pas de la même manière —, mais vous ne voulez pas qu’elles laissent partir vos bas dans les abîmes : il convient donc qu’elles soient élastiques, mais pas trop. Le seul moyen d’obtenir un résultat correct, c’est qu’elles soient suffisamment larges : entre 1,8 et 2,2cm. De cette manière, l’élastique aura assez de répondant. Pour la longueur, l’usage actuel est de porter les bas assez hauts sur la cuisse : entre 8cm et 15cm me semble être un bon compromis. Plus les jarretelles seront longues, plus leurs élastiques vont jouer : si la plupart des femmes qui portent des bas aujourd’hui les portent très hauts sur les cuisses, ce n’est pas seulement pour fuir le regard des hommes, c’est aussi parce-qu’ils sont plus confortables portés ainsi.

Le réglage

Le système de réglage : j’en connais principalement 2, le 3e étant spécifique aux gaines. Le premier utilise une boucle, comme une bretelle de soutien-gorge ou une bretelle de sac. Ça peut faire l’affaire si la boucle est de très bonne qualité, mais le maintien sera perfectible. Le deuxième utilise une pince, comme sur les bretelles de pantalon. Avec ce système, la longueur ne change pas.
L’attache
Je me place dans le cadre d’une jarretelle moderne.
L’attache, destinée à maintenir le bas, consistera en général en un bouton en matière plastique sur un ruban, légèrement souple, et en un fil dans lequel ce bouton va s’insérer. Le bas sera pris entre le bouton et le fil. Voilà pour l’idée de base.
En pratique, que faut-il chercher ? Le fil métallique est impératif, on en trouve en plastique, ils sont à fuir. Les attaches sont de la même largeur que les jarretelles : une jarretelle large implique une attache large, facile, ça fait une raison de plus de chercher des jarretelles larges. Faut-il chercher des jarretelles munies d’un petit ruban ? C’est une question de préférence. Ce ruban s’appelle « le pan », j’en ai parlé en détail dans un autre article, il sert à prévenir les irritations causées à la peau par les attaches. Et a un intérêt esthétique, pour qui aime. Indispensable ? Clairement pas, de mon côté je l’adore, mais un seul de mes porte-jarretelles quotidiens en est muni.

Il existe un autre type d’attaches, où une mâchoire va mordre dans le bas comme certaines bretelles. J’avoue que je n’ai aucun porte-jarretelles muni de ce système, il me paraît avoir pour lui la facilité de mise en place, mais au prix d’une épaisseur supérieure au système fil+bouton, donc d’une discrétion moindre. Et j’ai peur qu’il tienne un peu moins bien les bas, au risque de les endommager.
Amovibles ?
Les jarretelles doivent-elles être amovibles ? L’intérêt est de permettre de les changer, par exemple pour varier les teintes ou les formes — les remplacer temporairement par des jarretelles en Y est une des possibilités.
Le système permettant d’ôter des jarretelles impose une surépaisseur, mais celle-ci est négligeable, ce n’est donc pas un problème du point de vue du confort. Par contre, il peut aussi dans certaines conditions se décrocher. Il n’est pas critique de perdre une jarretelle de la sorte, à condition de n’être pas trop court vêtue : a priori elle restera attachée au bas, et il devrait y en avoir deux autres pour assurer le coup. Ça n’en reste pas moins une expérience qu’on aime éviter de faire, dans la mesure où elle impose de trouver de toute urgence un lieu tranquille pour remédier à la situation.
En bref : pour débuter, je préfère des jarretelles fixes. Après, des jarretelles amovibles ne devraient pas poser de problème, en général. Notez toutefois un point important : pouvoir échanger les jarretelles ne veut pas dire qu’on peut faire n’importe quoi, les jarretelles de remplacement doivent être de la même largeur que les jarretelles d’origine. Pas moins larges (le crochet ne tiendrait pas), ni plus larges (pas stable, donc gros risque de décrochage).
Le serre-taille
Un serre-taille est un porte-jarretelles très large, qui remonte beaucoup plus haut sur les hanches : si un porte-jarretelles classique laisse le nombril visible, ce n’est pas le cas pour un serre-taille. À ce titre, le patron en forme de cône tronqué est beaucoup moins critique, un serre-taille posé à plat peut être de très bonne qualité même s’il ne tourne pas vraiment — c’est le cas de mes Rétro Swing, quant à mon Aguicheur il a plutôt une forme conique sur le bas et cylindrique en haut. C’est à ce point de ma rédaction que je me rends compte que mes serre-tailles2 viennent tous d’un même endroit, un jour il faudra tout de même que j’en essaie d’autres !
Un point à vérifier sur un serre-taille : s’il est fermé par des agrafes, il convient qu’il en ait au-moins 6 sous peine d’être rétrogradé au statut de porte-jarretelles : je l’ai dit, il doit remonter très haut sur les hanches, cette hauteur a besoin d’être attachée correctement.
Mensurations atypiques
J’ai évoqué plus haut les formes féminines communes en Europe. Le problème, c’est que les moyennes ne sont pas les individus. Dans cette section, je voudrais évoquer le cas des personnes qui n’ont pas ce fameux écart d’environ 30cm entre leur tour de hanches et leur tour de taille. Ce point concerne bien évidemment les hommes, mais il peut s’adresser à certaines femmes aussi : une femme d’origine asiatique n’aura pas les mêmes formes qu’une femme d’origine européenne.
Je vais reprendre ici des éléments de la discussion que j’avais eue avec Sandrine Raimbault quand je voulais acheter chez elle mon premier serre-taille : la taille à prendre dépendait de la mesure que j’utilisais : tour de taille, ça allait être trop grand sur les hanches. Tour de hanches : trop serré à la taille. Je me trouvais entre 3 tailles, avec au final le choix suivant : soit j’étais à l’aise, avec un maintien dégradé (base : tour de taille), soit j’avais un maintien parfait mais au prix d’un confort moindre (base : tour de hanches), ou je faisais un compromis (choix intermédiaire). Je crois qu’à l’époque j’avais fait le premier choix, il se trouve que j’ai acheté un serre-taille pour mon épouse qui, pour moi, correspondait au 3e. Ma préférence va finalement à celui-ci, mais le seul moyen de le savoir est d’essayer.
Dans tous les cas, un homme, ou une femme qui n’a pas des mensurations classiques, devra faire des compromis : maintien ou confort…? C’est à chaque personne de faire son choix. Pour concilier les deux, dans ce cas précis, il faudra se préparer à investir un peu plus : soit en faisant fabriquer son équipement sur mesure, soit en le faisant retoucher par un tailleur de confiance. Je ne l’ai jamais fait, mais j’ai pu échanger avec un homme qui a eu par le passé recours à cette solution.
Un cas très particulier m’est venu à l’idée, qui peut concerner certaines personnes : un tour de taille supérieur au tour de hanches. Chez un homme, ça peut venir avec l’âge (le fameux « ventre à bière »3), chez une femme c’est le cas lors d’une grossesse, par exemple. Je pense que dans cette situation, le serre-taille ou le porte-jarretelles ne sont pas adaptés, à mon humble avis il faudrait plutôt se diriger vers une gaine ou une guêpière, sans hésiter à aller vers du sur mesure. Dans tous les cas, la tenue de l’ensemble ne peut venir des hanches, elle doit donc venir d’au-dessus.
Où en trouver ?
C’est bien beau, tout ça, j’ai expliqué en long et en large ce qu’il faut chercher, mais je n’ai pas encore précisé où on peut en trouver, parce-que si vous comptez sur la grande distribution ou les chaîne de magasins de lingerie, vous allez rencontrer quelques difficultés, ces lieux ne connaissent plus grand chose au sujet. J’ai répondu en détail à cette question sur cette page, mais si vous ne voulez pas quitter la douceur de cet article, voici un récapitulatif rapide. Gros avantage de toutes ces adresses : même si, dans certains cas, je dis que les prix sont élevés, ils sont en pratique au niveau voire en dessous de marques qui se disent « de luxe » tout en ayant oublié comment tenir des bas (voir ci-dessus). Par ordre de préférence pour les porte-jarretelles que j’ai testé.
- La Dame de France : des produits de très bonne qualité. Dans le haut du panier pour les tarifs en corsetterie dans ce que je pratique, mais je n’ai que des éloges à faire sur les produits que j’ai utilisés de chez eux.
- Coco’s Retro Closet : des produits artisanaux, fabriqués à la main par une couturière croate qui vend directement. Prévoir un délai, mais le travail est soigné, les modèles sont jolis et il est possible de personnaliser.
- What Katie Did : des produits orientés « pin-up », site UK distribué sur le continent chez Top Vintage (attention, site généraliste) ou chez Les Bas Nylon (petite boutique française à contacter via Facebook, VPC possible, j’ai mis le lien vers leur site qui permet de les contacter sur les réseaux sociaux)
- Cervin : connus pour leurs bas, je n’ai essayé qu’un seul de leurs porte-jarretelles pour un résultat moyen dans mon cas. Il n’en reste pas moins que leurs ateliers proposent de très bons produits.
- Secrets in Lace : pour des ensembles à tomber, je n’ai pas encore essayé d’acheter chez eux mais ce n’est pas l’envie qui m’en manque, il n’est pas impossible que je les place plus haut à l’avenir ! Dans tous les cas, ils savent faire.
En images
Le pire…
Pour pouvoir vous montrer ça, j’ai pris sur moi et j’ai fait une recherche sur Vinted, il s’agit donc exclusivement de photos prises par les vendeurs. Notez que je supprimerai toute photo dont on me signalera la paternité. Sur Vinted, ces trucs là ne sont globalement pas chers. Mais ils valent encore moins que ça. Du côté des marques, on en trouve plusieurs, dont certaines sont réputées, mais bon, sur ce point, il n’y a de toute façon pas grand chose de bon !






Le… mieux
Et voici quelques photos tirées de ma collection personnelle — vous pouvez placer le machin bleu plus bas que la section précédente, mais pour le reste, vous pouvez y aller en toute confiance ! On y trouve du Cervin, de la Dame de France, du What Katie Did et du En Voile (revendeur disparu).




Notice légale : les photo illustrant cet article proviennent principalement de 4 sources : NylonPur pour les photos « en situation » et la photo d'illustration générale, ma collection personnelle pour ma garde robe, Coco's Retro Closet pour un exemple et des captures effectuées sur Vinted.
Dans la mesure où je parle d'un certain nombre de marques dans cet article, je n'ai utilisé aucune photo venant d'une de ces marques. Vous pouvez cependant retrouver des photos complémentaires de pièces de très bonne qualité, prises par les photographes officiels des marques, dans mes articles sur l'Aguicheur, le Rétro Swing ou le Notting Hill.

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